Au mois de décembre, au gré de mes balades sur les réseaux sociaux, je découvre l’association Les Caquetteuses à Sérent, près de Vannes. Avec un message à caractère d’urgence écrit très gros : « Sauvez des poules ! ». Mon petit coeur tout mou d’écolo fait un bond suffisant pour que je clique sur un lien, histoire d’en savoir plus.
Le SEW, à Morlaix, il vient d’ouvrir, là, en octobre. Les architectes Loïc Julienne, Alice Périot, Giulia Tellier (Construire / Paris) et Amélie Loisel (Laab / Lannion) en sont les co-auteurs, vous irez voir leur site, ils sont bons bons bons bons. Le SEW, c’est un lieu qui ressemble beaucoup au LU de Nantes (et pour cause, ce […]
Et oui, me revoilà, avec encore un truc qui ne va pas. Bon, il faut qu’on parle. Concrètement, vous êtes invité·e·s à dîner, et vous allez apporter traditionnellement à vos hôtes des chocolats, du vin et/ou des fleurs. Et c’est de cela précisément dont je veux vous causer.
A la fois cérébrale et spontanée, l’œuvre de Petrovitch est abondamment commentée, et souvent via des prismes psychologiques ou psychanalytiques, il n’est donc pas forcément utile d’apporter une pierre de plus à l’édifice critique qui théorise un corpus infiniment riche. Alors quoi ? Qu’apporter de plus ? Comme toujours, le désir, peut-être.
La presse était invitée la semaine dernière à ce qui ressemblait plus à un pot de départ en retraite dans le service comptabilité de l’usine de parapluies Pujol-Michonneau qu’à une conférence de presse.
Bon, on va un peu vous raconter notre notre vie de journaliste au Festival Les Rias, et probablement, vous allez vous dire qu’elle n’est pas très différente de la vôtre. Sauf que nous on bosse. Enfin, pas tout le temps. Parfois ça dérape.