Rohmer au théâtre. Nos coeurs s’emballent pour « Où les coeurs s’éprennent », une mise en scène de Thomas Quillardet d’après deux films culte du cinéaste disparu en 2010 : « Les nuits de la pleine lune» et « Le rayon vert» .
Il n’est pas toujours nécessaire d’expliquer comment se font les choses, mais raconter la genèse technique et folle de la forêt de Violaine Fayolle participe à l’ébahissement qu’elle procure.
Il y a Hartung, que l’on appelle simplement par son nom, et Anna-Eva Bergman, sa femme. Entre intuition et technique, cette peintre, née en Norvège, recrée graphiquement le paysage et les émotions visuelles. Et c’est bouleversant.
Julien Magre fait du cinéma avec des photos. Un voyage, long fil de bitume qui se déroule, fractionné par étapes sur des aires d’autoroute, pauses flottantes, vaseuses comme un réveil en surprise. ça s’appelle Troubles et c’est soi.
Frédérique Mingant, de la compagnie rennaise 13/10e en ut, monte une adaptation du mythique roman d’Orwell, 1984, écrit en 1949 et devenu la référence de la dystopie. Cinquante ans avant les grandes fresques cinématographiques du genre. Interview.
Pierre-Emmanuel Barré est drôle et no limit. Il taille, allume, assassine, dézingue. Sans tabou, sans censure, sans frein, il a le trash classe.