L’été dernier, on avait découvert, au festival des Rias, un objet scénique étonnant, dont la singularité nous avait laissées sur le cul. Un cercle de bannières, la tombée de la nuit, l’humidité de la prairie, les arbres devenant mur sombre, à peine troué par les petites lumières de la scène, le public blotti dans des couvertures comme dans un nid…
25/05/23